« A travers cet entretien, Sanaa Mejjadi y éclaire son parcours d’artiste avec sa double culture (marocaine et française), l’héritage des gestes du tissage transmis de femme à femme et qu’elle déplace vers des problématiques plus contemporaines, les divers matériaux qu’elle utilise autant pour leur dimension plastique que symbolique (grillage de fils de fer; tissage de laine etc.), son goût pour les arbres et leurs enchevêtrements. » Pierre Manuel

Extrait du catalogue

